Pierre Rabhi
- lauspez
- 16 déc. 2021
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 30 janv. 2023
Et la sobriété heureuse

C’est étonnant comme j’ai du mal à me dire qu’il est mort, j’ai l’impression qu’il sera toujours vivant - au moins par ses paroles et ce qu’il a généré.
Quelques phrases qui me parle (extrait du site https://citations.ouest-france.fr/citation-pierre-rabhi/)
La beauté qui sauvera le monde, c'est la générosité, le partage, la compassion, toute ces valeurs qui amènent à une énergie fabuleuse qui est celle de l’amour.
Il nous faudra bien répondre à notre véritable vocation, qui n'est pas de produite et de consommer sans fin, mais d'aimer, d'admirer et de prendre soin de la vie sous toutes ses formes.
Comment se fait-il que l'humanité, en dépit de ressources planétaires suffisantes et de prouesses technologiques sans précédent, ne parvienne pas à faire en sorte que chaque être humain puisse se nourrir, se vêtir, s'abriter, se soigner et développer les potentialités nécessaires à son accomplissement ?
C'est dans les utopies d'aujourd'hui que sont les solutions de demain.
Si chacun de nous fait le peu qu'il peut avec conviction et responsabilité, je vous assure que l'on fera énormément.
La vie n'est une belle aventure que lorsqu'elle est jalonnée de petits ou grands défis à surmonter, qui entretiennent la vigilance, suscitent la créativité, stimulent l'imagination et, pour tout dire, déclenchent l'enthousiasme, à savoir le divin en nous.
La nature est par définition le complexe vivant dans lequel l'être humain doit enfin trouver sa juste place s'il ne veut être éradiqué par ses propres erreurs.
Tout s'édifie à partir de la semence, entre féminin et masculin, et tout décline pour renaître encore. Ainsi, pour que la vie soit, la mort est nécessaire, et pour que la mort soit, la vie est nécessaire.
Colibris tire son nom d’une légende amérindienne, racontée par Pierre Rabhi, son fondateur : Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! » Et le colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part.»

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